La société nationale du Croissant-Rouge de Djibouti a été créée le 1er août 1977. Elle constituée sur la base des conventions de Genève du 12 août 1949 et des protocoles additionnels du 8 juin 1977 auxquels la république de Djibouti a adhéré.
Officiellement reconnu par l’ordonnance n°77-042PR du 18 octobre 1977. Le CICR et la Fédération Internationale, quant à eux, ont reconnu la société nationale respectivement le 15 octobre et le 18 octobre 1986.
Le Croissant-Rouge de Djibouti, en tant qu’auxiliaire des pouvoirs publics, contribue, grâce à son réseau de volontaires présents dans les régions même les plus reculées, à l’amélioration des conditions de vie des groupes vulnérables sans pour autant se substituer aux pouvoirs publics et disloquer la culture des solidarités communautaires à condition de pouvoir disposer de moyens financiers suffisants, à travers un réseau de partenaires partageant les mêmes objectifs humanitaires.
» Information, Education, Communication (IEC) pour la promotion de la santé au niveau des communautés vulnérables et défavorisées.
PlusSoutien aux personnes vulnérables : » Distribution de kits d’hygiènes » Distribution de vêtements » Distribution de moustiquaires, Ustensiles de cuisines, matériel scolaire
Plus» Santé préventive » Secourisme de base et secourisme professionnel » Promotion des Principes et valeurs humanitaires » Réduction des risques » Renforcement des capacités » Rétablissement de liens familiaux (RLF)–
Plusla gestion des catastrophes s’organise à travers des exercices de simulation avec nos volontaires-secouristes et des interventions en cas d’accident ou de catastrophe.
PlusLa société Nationale du Croissant-Rouge de Djibouti en partenariat avec l’UNICEF a lancé une campagne de sensibilisation sur l’importance des gestes barrières en vue de lutter contre l’épidémie du coronavirus. L’objectif premier de cette campagne est de rappeler à la population que l’amorce d’une baisse significative des cas de coronavirus dans notre pays ne devrait pas être source de relâchement dans notre combat face au coronavirus. En effet, cette baisse doit être un facteur de plus pour redoubler d’efforts dans le maintien des comportements sains tels que le lavage régulier des mains, le port du masque dans les lieux publics, la distanciation sociale.